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Mon nom est Janie Tremblay et oui, je suis une Tremblay du Lac-St-Jean. J'étudie en orthopédagogie à l'Université du Québec en Outaouais. J'espère que ce blogue aidera mes collègues de classe dans leur cheminement universitaire tout en leur permettant de découvrir un peu de ma belle région. N'hésitez pas à venir me voir, j'ai l'air bizarre avec ma tuque et mes dessins à colorier mais je suis bien sympathique en réalité.

dimanche 23 août 2009

vendredi 17 avril 2009

Synthèse de la langue orale

 

Introduction

La communication écrite occupe une place prédominante en éducation. La maitrise la langue française à l’écrit est essentielle à acquérir pour le futur enseignant si ce dernier souhaite être en mesure de la transmettre adéquatement aux générations à venir. Dans le cadre de ce cours, j’ai pu à la fois mettre à jour mes connaissances sur le sujet et en apprendre davantage à propos du  code de ma langue maternelle à l’écrit. Dans un premier temps, j’exposerai les apprentissages que j’ai effectués dans le cours. Deuxièmement, je dresserai un portait des compétences langagières travaillées. En troisième lieu, je parlerai des aspects des compétences professionnelles 1, 2, 11 et 12 que j’ai développées. Et je terminerai par une auto-évaluation de ma participation au cours.

Apprentissages effectués dans le cours

            Dans le bloc 1, nous avions observé que la syntaxe à l’oral diffère beaucoup de l’écrit. En effet, lorsque nous écrivons, tout est structuré et chaque élément de la phrase a sa raison d’être. Au cours du bloc 2, j’ai découvert les différentes intentions qu’un auteur peut avoir lorsqu’il compose un texte.

De plus, j’ai retravaillé la grammaire du texte. J’ai vu qu’il y avait plusieurs classes de mots comme le nom, l’adjectif, le déterminant, etc. Pour simplifier l’écriture avec les enfants, il faut qu’ils découvrent qu’il y a des classes qui vont varier en genre et en nombre avec le donneur, c’est-à-dire le nom, et il y en a d’autres qui sont invariables. J’ai appris que le verbe qui décrit l’action principale de la phrase se nomme le verbe prédicat.

Ensuite, comme il y avait un bon moment déjà que je n’avais pas travaillé les groupes contenus dans une phrase, je fus heureuse de me rafraichir la mémoire sur le sujet. Heureusement pour moi, la phrase de base est toujours constituée d’un groupe sujet et d’un groupe du verbe qui, à l’occasion, peuvent être accompagné d’un groupe complément de phrase.

Enfin, j’ai eu la chance de travailler avec une grille de correction : le code Préfontaine/Fortier. Je n’avais jamais eu la chance d’utiliser un code de la sorte. J’ai trouvé qu’il était ardu de s’y repérer au début, mais je suis persuadée qu’après quelque temps, ce type de code permet une correction beaucoup plus rapide et efficace.

Compétences langagières travaillées :

            À la suite des différents exercices qui ont été effectués en classe, j’ai pu relever quelles étaient mes forces et mes faiblesses au niveau de la langue écrite. D’abord, je constate que la structure de mes textes d’argumentation est bonne et que je suis en mesure d’utiliser des marqueurs de relation appropriés au contexte. Également, mes phrases sont bien construites et je fais peu d’erreurs en lien avec la ponctuation.

Néanmoins, je ne suis pas parfaite! J’ai mes faiblesses sur lesquelles je devrai travailler dans un avenir rapproché si je souhaite exceller au test TEC-FÉE en septembre prochain. D’abord, il y a mes temps de verbes qui me donnent du fils à retordre. J’éprouve quelques difficultés à conserver mon texte dans des temps de verbe lié au présent ou au passé. De plus, mon vocabulaire est à travailler. Même si je lis beaucoup, je m’attarde peu à la manière dont les mots sont écrits. Donc, cela fait en sorte que j’ai un grand bagage de mot de vocabulaire riche dont je ne suis jamais certaine de l’orthographe.

Compétences professionnelles travaillées

 

Compétences

Aspects travaillés

1

·         J’ai su prendre une distance critique par rapport à la langue écrite lorsque j’ai compris l’importance de son rôle dans le parcours scolaire de l’élève. Afin de lui donner les meilleurs outils pour réussir, je me dois d’avoir des connaissances rigoureuses sur le sujet et de les lui transmettre de manière claire et concise.  

2

·         Durant les cours, je me suis appliquée à respecter les règles de la langue écrite lors des différents travaux et exercices effectués.

11

·         À l’intérieur du second bloc, j’ai pu réviser mes connaissances antérieures et établir un bilan de mes forces et faiblesses. Désormais, je suis consciente du travail que j’ai à faire pour perfectionner mon français écrit avant de devenir enseignante.

12

·         Lors de discussions en groupe, j’ai su respecter mes collègues de classe même si leurs opinions divergeaient des miennes à quelques occasions.

 

Auto-évaluation

3/3

J’ai été présente en classe tout au long du bloc sur la langue écrite. En plus, je n’y étais pas simplement de corps, mais aussi d’esprit! En effet, j’ai participé activement aux discussions et aux activités proposées durant les cours. Et vous devez faire fi de mon air absent ou lunatique, car je suis une personne qui apprend en écoutant et il m’arrive fréquemment de fixer un point ou d’avoir le regard vide lorsque j’écoute en classe.

 

Conclusion

            En enseignement, la communication écrite et aussi importante que la communication orale. Je trouve donc dommage que nous ayons eu si peu de temps pour travailler cet aspect de la langue. Toutefois, ces quelques cours ont été pour moi des révisions variées au sujet des différentes notions et codes qui englobent tout le processus de l’écriture. Je suis heureuse d’avoir eu le cours de communication avant d’avoir à faire le test TEC-FÉE, car maintenant je sais sur quoi je dois travailler si je veux le réussir.

mardi 14 avril 2009

Synthèse de la langue orale

Introduction

          La communication orale est au centre de nos vies quotidiennes. Comme future enseignante en adaptation scolaire et sociale, il est essentiel de perfectionner cette habileté que j’aurai moi-même à développer chez les élèves bientôt. Dans ce cours, j’ai enrichi différents aspects liés à la communication orale qui ont su améliorer mon parler. À l’intérieur de cette synthèse, je présenterai les apprentissages que j’ai effectués tout au long de la première moitié du cours. Par la suite, j’aborderai les compétences langagières à l’oral que j’ai travaillé. Aussi, je décrirai comment j’ai développé les compétences 1-2-11 et 12 durant le bloc 1. Je terminerai en dressant un aperçu du travail accompli par mes coéquipières tout au long des rencontres de discussions.

 

Apprentissages effectués dans le cours 

Dans le bloc 1, j'ai appris que la communication orale et la communication écrite ont en commun la syntaxe, la morphologie et le lexique. Cependant, à l'oral, la communication est directe tandis qu'elle est différée à l'écrit. La langue a différentes fonctions : référentielle, expressive, incitative, accessoires, poétique, relationnelle ou phatique et métalinguistique. Elles sont souvent mélangées, mais il y en a toujours une qui est prédominante. 

Ensuite, j'ai découvert que pour avoir l'intérêt des élèves, la voix doit être modulée. Il faut éviter d'avoir un ton monotone ou de récitation et manquer de vigueur dans ses propos. Il faut accorder beaucoup d'importance à la prononciation et à l'articulation. Le débit doit être adapté à la clientèle, varié et marqué par des pauses. La voix doit être à la bonne hauteur, l’intensité, soutenue et le timbre, adéquat pour la situation.

De plus, j’ai su qu’avant d’évaluer les élèves, il est important qu’ils aient une bonne préparation. Aussi, en tant que professeur, notre grille d’évaluation doit laisser place à des commentaires constructifs. Il est également préférable d’évaluer individuellement chaque élève.

Un autre apprentissage que j’ai effectué dans le cours est qu’il existe différentes catégories d’anglicismes : de mot, de forme, de constructions, de sens et de typographie. Dans chacune des catégories, il y a des mots qui sont acceptés en français. Je sais maintenant qu’il est possible d’ajouter de l’effet à nos propos en utilisant certains anglicismes. En tant qu’enseignante, je me dois de connaître les anglicismes non seulement pour faire attention à mon vocabulaire en classe, mais aussi pour reprendre les enfants dans leurs erreurs à l’oral.

Aussi, j’ai pris connaissance d’erreurs fréquentes que l’on fait à l’oral (Ex. : « Moi, je… »). Je suis peu consciente de ce type d’erreur lorsque je parle. Mais j’ai réalisé que si je m’en rends compte par moi-même et que je travaille sur cet aspect quotidiennement, il me sera plus facile de reprendre mes élèves en contexte de classe.

Enfin, je me suis familiarisé avec l’alphabet phonétique. Cette activité m’a permis de prendre conscience des multiples sons qui composent les mots de la langue française de l’importance de bien les distinguer. Cela me fut fort utile lors de mon stage au premier cycle du primaire. Avec ces enfants qui débutent en écriture, j’ai pu leur venir en aide en décomposant pour eux les sons des mots qu’ils souhaitaient écrire.

 

Compétences langagière travaillées

Durant les discussions de groupe, j’ai travaillé différentes compétences langagières. Au début, je me suis concentrée sur la voix. J’ai pris le temps de bien articuler et de bien prononcer mes mots. Cependant, j’ai dû faire attention au volume de ma voix pour qu’elle porte davantage. Ensuite, j’ai insisté sur la langue, plus précisément la morphosyntaxe. J’ai fait attention à la morphologie des mots, mais surtout sur le pluriel des mots (Ex. : des oraux). J’ai aussi porté une attention particulière à la syntaxe et à la construction de mes phrases. Enfin, j’ai pris le temps nécessaire pour autocorriger les propos que je tenais. En prenant ainsi conscience de mes erreurs, j’ai pu m’améliorer énormément d’une rencontre d’équipe à l’autre.

À la suite de ces discussions, il apparait que mes forces sont :

·         J’énonce clairement mes idées;

·         Mes intonations sont expressives et naturelles;

·         Le vocabulaire que j’utilise est adapté à la situation de communication;

·         J’utilise des termes justes et précis;

·         J’ai une bonne capacité d’autocorrection.

Pour l’avenir, voici ce que j’ai à travailler :

·         Je dois faire attention à ajuster mon débit en fonction de la clientèle;

·         Il me faut regarder l’ensemble de mes interlocuteurs lorsque je parle;

·         Pour mieux me faire entendre, le volume de ma voix doit être plus élevé;

·         Je dois éviter les hésitations quant au choix des mots que je souhaite utiliser.

Finalement, j’espère que toi – oui toi qui es en train de lire ma synthèse sur mon blogue –, tu seras en mesure de m’aider dans le développement de mes compétences langagières en n’hésitant pas à intervenir auprès de moi si tu perçois quelque chose dans mes propos que je pourrais améliorer. Je compte sur toi!

Compétences professionnelles travaillées

Compétence

Aspects travaillés

1

·         J’ai appris qu’il est important de prendre une distance critique face à la langue orale. Comme future enseignante, je dois utiliser un vocabulaire qui sera près du vocabulaire familier des élèves.  

·         Je dois porter un regard critique sur les origines de mon parler. Comme je viens d’une autre région, il n’est pas rare que certains mots de mon vocabulaire soient totalement inconnus de mes collègues. Je dois alors porter quelques efforts en ce sens pour l’ajuster à celui des gens de l’Outaouais.

2

·         Lors des discussions, j’ai pu m’exercer à prendre différentes positions et à les soutenir à l’aide d’arguments variés en utilisant un vocabulaire approprié à la situation.

·         Lors des discussions, je devais être respectueuse envers mes coéquipières, être à l’écoute de leurs arguments et de leur point de vue.

·         Grâce aux rétroactions, je me suis pratiqué à corriger le langage oral d’un membre de l’équipe chaque semaine. Cela a développé mon oreille aux différentes erreurs commises à l’oral.

11

·         D’abord, comme je suis du Lac-Saint-Jean, j’ai réalisé que j’ai peu d’anglicismes dans mon vocabulaire. Il m’est donc arrivé de reprendre mes amies lorsqu’il leur arrivait d’en prononcer.

·          Tel que mentionné à la fin de la section « Apprentissages effectués dans le cours », j’ai pu réinvestir les acquis que j’ai fait durant le cours sur l’alphabet phonétique durant mon stage. J’ai donc pu faire un transfert des connaissances.

·         Grâce aux discussions, j’ai pu définir mes forces et faiblesses à l’oral et me fixer des objectifs en vue de m’améliorer.  

12

·         J’ai pris conscience de l’importance de l’oral dans l’enseignement. Il m’apparait évident que l’élève en sort grand gagnant si son professeur le reprend et l’aide à améliorer sa langue parlée.

·         En travaillant en équipe, j’ai développé du respect pour mes coéquipiers, j’ai tenu mes engagements et j’ai accompli toutes mes responsabilités.

 

Présence et participation – évaluation d’équipe

5/5

Véronique Pilotte-Charron, Vicky Giroux, Nicole Trudel et Nadia Boutin ont été présentes à tous les cours et ont su participer activement aux activités et aux discussions.

4/5

Marie-Pier Chouinard, Natache Lavergne et Mélissa Beaudoin-Sabourin ont su participer activement aux activités et aux discussions, mais elles ont dû s’absenter à différents moments durant le bloc 1.

 

Conclusion 

En terminant, ce bloc m’a permis de prendre conscience de différents aspects sur la communication orale. Comme je n’ai jamais eu de cours sur le sujet au cégep, j’ai trouvé fort intéressant de découvrir les multiples rouages nécessaires pour obtenir une bonne communication. Mieux consciente du rôle que je tiens comme modèle de communicatrice auprès des élèves, je me sens mieux équipée pour les soutenir dans leurs propres apprentissages de l’art de se parler.

jeudi 5 mars 2009

Contexte didactique : de que s'est?

22 :15 … 10 heures et 15 minutes avant la remis du travail.
À la recherche d’inspiration, je calle mon verre. Contexte didactique… CONTEXTE DIDACTIQUE!! Mais qu’est-ce que cette merde? Regardons du côté des dictionnaires :

Contexte : Énoncé dans lequel figure qui déjà?? Ah oui!… le terme étudié.

Didactique : Qui concerne les méthodes et les pratiques de l’enseignement, ou l’enseignement à proprement parler.

Je pense que le «terme étudié» dans ma leçon c’est probablement la probabilité puisque c’est le domaine de ma leçon. Dans une autre vie, ou peut-être dans celle-ci, je suis profondément persuadée que c’est deux mots, domaine et terme, étaient des synonymes très proches… on parlait presque de petits-cousins de la fesse gauche ou c’était la droite, je ne me souviens plus, j’ai du mourir entre-temps.

Quand on commence la probabilité avec les tout-petits (retenez cela, on commence pas mal tout avec les tout-petits), on doit travailler avec des mots qui ne sont pas trop-trop compliquer genre certain, possible ou impossible. C’est trois mots sont utilisés surtout quand on tente de montrer aux jeunes la dite possibilité qu’un truc arrive.

Nonobstant (notez l’utilisation soutenue d’un mot intelligent ici), l’utilisation des termes tels que toujours, parfois et jamais ramène à l’idée de fréquence qu’un événement ce produise; on peu parler de plus souvent ou moins souvent. Toutefois, certain, possible et impossible aussi, dans certaines circonstances, peuvent prendre cette tournure. (Étrange comment l’utilisation du même mot, soit «certain» dans une même phrase peut prendre deux sens différents… ViVe La LaNgUe FrAnÇaIsE!)

J’ai besoin d’embrasser mon chum là là!

Bon, là fille, lis l’exemple du prof. Peut-être que ça va t’inspirer…

À la lecture du premier paragraphe, tentons de composer un premier paragraphe en rouge vin, presque bourgogne.

Le concept de probabilité lié à des événements simples est essentiel à développer chez les élèves du premier cycle. Il existe un rapport entre la création d’une enquête à réponses variant entre toujours, parfois et jamais et l’interprétation des résultats. Les élèves se doivent de trouver des questions sur des événements qui peuvent se produire à différentes fréquences pour interpréter de manière efficace les données recueillit.

J’aurai pu dire qu’il existe un rapport entre C et O du genre « on complète le cercle débuter à mi-chemin entre le milieu du trottoir et la bordure de ce dernier », mais j’aurai été mettre de la calligraphie en mathématique et mes élèves, qui sont déjà en difficulté d’apprentissage, je me le rappelle, auraient été définitivement perdu dans le champ. Wow! J’ai autant de ligne que les profs!! Même qu’en arial, ça m’en donne une de plus ou une de moins à faire, c’est comme je veux. Ok, poursuit avec le deuxième paragraphe. Lisation (action de lire en langage de 23 :28). Composition en bleu océan entre deux vagues.

Très jeunes, les élèves peuvent développer des habilités liés à la probabilité telle que dire si c’est certain, possible ou impossible qu’un événement arrive. Pour ce faire, il faut débuter avec des exemples et des activités qui sont près de leur quotidien et qui sont concrets pour eux car ils cerneront les nuances plus rapidement. Exemple de questionnement concret :
Enseignant : Est-il certain que ta maman te montre à jouer d’un instrument?
Élève : Non! Maman ne sait pas la différence entre un piano et une guitare. Mais papa sait comment jouer du saxophone. Avec lui, c’est certain.
Enseignant : Es-tu sure que ce soit certain ou possible?
Élève : Bien, je pense que c’est plutôt possible parce qu’il ne m’a jamais dit qu’il allait m’apprendre à jouer.
Les élèves sont donc en mesure de déterminer parmi un choix de trois options, les chances de réalisation d’un événement X.


J’ai en tête de demander s’il est possible que tu fasses pipi au lit, mais après une brève réflexion, il est certain que tous les enfants vont rester sur leur position du « c’est impossible, car je suis grand maintenant!» même après une remise en doute.

Lisation du troisième paragraphe. Bon, l’idée du paragraphe ne me saute pas aux yeux… je devrais parler de la difficulté à cerner la nuance entre le presque certain et le certain et le presqu’impossible et l’impossible. Pourquoi pas en vert, c’est tellement beau le vert, je vais peut-être me mettre à espérer terminer mon texte avant 1 :00 … d’accord soit réaliste, 3:00.

Les enfants ont parfois de la difficulté à distinguer le certain/toujours du possible/parfois et le possible/parfois du impossible/jamais. En effet, il existe des situations où les chances de se produire ou de ne pas se produire sont presque de 100% ou de 0%. L’enfant doit comprendre que le possible/parfois englobe tout ce qui se situe entre le certain/ toujours et le Impossible/jamais, même si c’est plus souvent toujours que parfois ou que ça n’arrive quasiment jamais. Pour aider à visualiser ce concept, il est bien d’utiliser une ligne de probabilité.
/………………………………………………………………../
Certain Possible Impossible
Ainsi, les enfants peuvent constater que certains événements sont plus près d’être certain/toujours ou de impossible/jamais sans toutefois l’être complètement.

Wow, après relisation, j’ai peut-être encore un cerveau à 0:34… Poursuit pendant qu’il est là, et en jaune Picasso...euh non, y’en a pas. Allons y avec du mauve Albert.

Le vocabulaire lié à la probabilité est très varié. Cependant, il faut prendre le temps de comprendre les concepts simples avant d’aller vers des plus ardus. C’est pourquoi, après avoir travaillé le vocabulaire certain, possible et impossible, l’enseignant peut aller de l’avant avec des mots comme toujours, parfois et jamais au premier cycle.

Ouais, ça devrais-tu aller après ou avant l’autre paragraphe? Trop compliquer comme réflexion. Continue d’écrire fille, c’est presque du Molière ton affaire. En gris cette fois!

Quant à l’interprétation des données, les élèves doivent être en mesure d’expliquer dans un vocabulaire en lien avec les mathématique que toujours, certain, jamais et impossible sont des certitudes qui ne varient jamais alors que parfois et possible peuvent tendre vers l’un ou l’autre des pôles de certitude.

0:56.. besoin de bisous.

Ok. Si je mets la partie 4 avant la partie 3 et que je colle la 3 à suite de la 5… j’ai une page et quelques. WOW!!!! Donc 1-2-4-5-3, ça me donne un contexte didactique… je devrais peut-être prendre cette suite de chiffre là au prochain tirage du 549. Mais je crois que les possibilités que je me trouve un billet de 549 sont nulles, ou impossible, ou que ça n’arrivera jamais.

1:00 AM le 5 mars 2009, 7 heure 30 minutes avant la remise du travail et mon lit m’appelle…

mercredi 4 mars 2009

La virgule.

Suite à l'ouragan E-B de mardi qui a déplacé bien des virgules dans mon analyse, je me demandais si j'étais seule, échouée sur mon île, à encore croire qu'une virgule se doit aussi d'aller devant une conjonction du style mais, ou, et, donc, car, ni, or, et compagnie?
Venez me lancer une bouée s'il vous plait, (<-- oh ho!, une virgule devant une conjonction -->) car il n'y a pas beaucoup de nourriture sur mon île.

mercredi 11 février 2009

dimanche 11 janvier 2009

Un bleuet


Le bleuet est une baie comestible bleu-noir d'Amérique du Nord, qu'on trouve dans une grande variété d'habitats secs et humides, dont la chair contient plusieurs graines dispersées.

http://www.granddictionnaire.com/btml/fra/r_motclef/index800_1.asp