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Mon nom est Janie Tremblay et oui, je suis une Tremblay du Lac-St-Jean. J'étudie en orthopédagogie à l'Université du Québec en Outaouais. J'espère que ce blogue aidera mes collègues de classe dans leur cheminement universitaire tout en leur permettant de découvrir un peu de ma belle région. N'hésitez pas à venir me voir, j'ai l'air bizarre avec ma tuque et mes dessins à colorier mais je suis bien sympathique en réalité.

jeudi 5 mars 2009

Contexte didactique : de que s'est?

22 :15 … 10 heures et 15 minutes avant la remis du travail.
À la recherche d’inspiration, je calle mon verre. Contexte didactique… CONTEXTE DIDACTIQUE!! Mais qu’est-ce que cette merde? Regardons du côté des dictionnaires :

Contexte : Énoncé dans lequel figure qui déjà?? Ah oui!… le terme étudié.

Didactique : Qui concerne les méthodes et les pratiques de l’enseignement, ou l’enseignement à proprement parler.

Je pense que le «terme étudié» dans ma leçon c’est probablement la probabilité puisque c’est le domaine de ma leçon. Dans une autre vie, ou peut-être dans celle-ci, je suis profondément persuadée que c’est deux mots, domaine et terme, étaient des synonymes très proches… on parlait presque de petits-cousins de la fesse gauche ou c’était la droite, je ne me souviens plus, j’ai du mourir entre-temps.

Quand on commence la probabilité avec les tout-petits (retenez cela, on commence pas mal tout avec les tout-petits), on doit travailler avec des mots qui ne sont pas trop-trop compliquer genre certain, possible ou impossible. C’est trois mots sont utilisés surtout quand on tente de montrer aux jeunes la dite possibilité qu’un truc arrive.

Nonobstant (notez l’utilisation soutenue d’un mot intelligent ici), l’utilisation des termes tels que toujours, parfois et jamais ramène à l’idée de fréquence qu’un événement ce produise; on peu parler de plus souvent ou moins souvent. Toutefois, certain, possible et impossible aussi, dans certaines circonstances, peuvent prendre cette tournure. (Étrange comment l’utilisation du même mot, soit «certain» dans une même phrase peut prendre deux sens différents… ViVe La LaNgUe FrAnÇaIsE!)

J’ai besoin d’embrasser mon chum là là!

Bon, là fille, lis l’exemple du prof. Peut-être que ça va t’inspirer…

À la lecture du premier paragraphe, tentons de composer un premier paragraphe en rouge vin, presque bourgogne.

Le concept de probabilité lié à des événements simples est essentiel à développer chez les élèves du premier cycle. Il existe un rapport entre la création d’une enquête à réponses variant entre toujours, parfois et jamais et l’interprétation des résultats. Les élèves se doivent de trouver des questions sur des événements qui peuvent se produire à différentes fréquences pour interpréter de manière efficace les données recueillit.

J’aurai pu dire qu’il existe un rapport entre C et O du genre « on complète le cercle débuter à mi-chemin entre le milieu du trottoir et la bordure de ce dernier », mais j’aurai été mettre de la calligraphie en mathématique et mes élèves, qui sont déjà en difficulté d’apprentissage, je me le rappelle, auraient été définitivement perdu dans le champ. Wow! J’ai autant de ligne que les profs!! Même qu’en arial, ça m’en donne une de plus ou une de moins à faire, c’est comme je veux. Ok, poursuit avec le deuxième paragraphe. Lisation (action de lire en langage de 23 :28). Composition en bleu océan entre deux vagues.

Très jeunes, les élèves peuvent développer des habilités liés à la probabilité telle que dire si c’est certain, possible ou impossible qu’un événement arrive. Pour ce faire, il faut débuter avec des exemples et des activités qui sont près de leur quotidien et qui sont concrets pour eux car ils cerneront les nuances plus rapidement. Exemple de questionnement concret :
Enseignant : Est-il certain que ta maman te montre à jouer d’un instrument?
Élève : Non! Maman ne sait pas la différence entre un piano et une guitare. Mais papa sait comment jouer du saxophone. Avec lui, c’est certain.
Enseignant : Es-tu sure que ce soit certain ou possible?
Élève : Bien, je pense que c’est plutôt possible parce qu’il ne m’a jamais dit qu’il allait m’apprendre à jouer.
Les élèves sont donc en mesure de déterminer parmi un choix de trois options, les chances de réalisation d’un événement X.


J’ai en tête de demander s’il est possible que tu fasses pipi au lit, mais après une brève réflexion, il est certain que tous les enfants vont rester sur leur position du « c’est impossible, car je suis grand maintenant!» même après une remise en doute.

Lisation du troisième paragraphe. Bon, l’idée du paragraphe ne me saute pas aux yeux… je devrais parler de la difficulté à cerner la nuance entre le presque certain et le certain et le presqu’impossible et l’impossible. Pourquoi pas en vert, c’est tellement beau le vert, je vais peut-être me mettre à espérer terminer mon texte avant 1 :00 … d’accord soit réaliste, 3:00.

Les enfants ont parfois de la difficulté à distinguer le certain/toujours du possible/parfois et le possible/parfois du impossible/jamais. En effet, il existe des situations où les chances de se produire ou de ne pas se produire sont presque de 100% ou de 0%. L’enfant doit comprendre que le possible/parfois englobe tout ce qui se situe entre le certain/ toujours et le Impossible/jamais, même si c’est plus souvent toujours que parfois ou que ça n’arrive quasiment jamais. Pour aider à visualiser ce concept, il est bien d’utiliser une ligne de probabilité.
/………………………………………………………………../
Certain Possible Impossible
Ainsi, les enfants peuvent constater que certains événements sont plus près d’être certain/toujours ou de impossible/jamais sans toutefois l’être complètement.

Wow, après relisation, j’ai peut-être encore un cerveau à 0:34… Poursuit pendant qu’il est là, et en jaune Picasso...euh non, y’en a pas. Allons y avec du mauve Albert.

Le vocabulaire lié à la probabilité est très varié. Cependant, il faut prendre le temps de comprendre les concepts simples avant d’aller vers des plus ardus. C’est pourquoi, après avoir travaillé le vocabulaire certain, possible et impossible, l’enseignant peut aller de l’avant avec des mots comme toujours, parfois et jamais au premier cycle.

Ouais, ça devrais-tu aller après ou avant l’autre paragraphe? Trop compliquer comme réflexion. Continue d’écrire fille, c’est presque du Molière ton affaire. En gris cette fois!

Quant à l’interprétation des données, les élèves doivent être en mesure d’expliquer dans un vocabulaire en lien avec les mathématique que toujours, certain, jamais et impossible sont des certitudes qui ne varient jamais alors que parfois et possible peuvent tendre vers l’un ou l’autre des pôles de certitude.

0:56.. besoin de bisous.

Ok. Si je mets la partie 4 avant la partie 3 et que je colle la 3 à suite de la 5… j’ai une page et quelques. WOW!!!! Donc 1-2-4-5-3, ça me donne un contexte didactique… je devrais peut-être prendre cette suite de chiffre là au prochain tirage du 549. Mais je crois que les possibilités que je me trouve un billet de 549 sont nulles, ou impossible, ou que ça n’arrivera jamais.

1:00 AM le 5 mars 2009, 7 heure 30 minutes avant la remise du travail et mon lit m’appelle…

mercredi 4 mars 2009

La virgule.

Suite à l'ouragan E-B de mardi qui a déplacé bien des virgules dans mon analyse, je me demandais si j'étais seule, échouée sur mon île, à encore croire qu'une virgule se doit aussi d'aller devant une conjonction du style mais, ou, et, donc, car, ni, or, et compagnie?
Venez me lancer une bouée s'il vous plait, (<-- oh ho!, une virgule devant une conjonction -->) car il n'y a pas beaucoup de nourriture sur mon île.