Qui êtes-vous ?

Ma photo
Mon nom est Janie Tremblay et oui, je suis une Tremblay du Lac-St-Jean. J'étudie en orthopédagogie à l'Université du Québec en Outaouais. J'espère que ce blogue aidera mes collègues de classe dans leur cheminement universitaire tout en leur permettant de découvrir un peu de ma belle région. N'hésitez pas à venir me voir, j'ai l'air bizarre avec ma tuque et mes dessins à colorier mais je suis bien sympathique en réalité.

vendredi 17 avril 2009

Synthèse de la langue orale

 

Introduction

La communication écrite occupe une place prédominante en éducation. La maitrise la langue française à l’écrit est essentielle à acquérir pour le futur enseignant si ce dernier souhaite être en mesure de la transmettre adéquatement aux générations à venir. Dans le cadre de ce cours, j’ai pu à la fois mettre à jour mes connaissances sur le sujet et en apprendre davantage à propos du  code de ma langue maternelle à l’écrit. Dans un premier temps, j’exposerai les apprentissages que j’ai effectués dans le cours. Deuxièmement, je dresserai un portait des compétences langagières travaillées. En troisième lieu, je parlerai des aspects des compétences professionnelles 1, 2, 11 et 12 que j’ai développées. Et je terminerai par une auto-évaluation de ma participation au cours.

Apprentissages effectués dans le cours

            Dans le bloc 1, nous avions observé que la syntaxe à l’oral diffère beaucoup de l’écrit. En effet, lorsque nous écrivons, tout est structuré et chaque élément de la phrase a sa raison d’être. Au cours du bloc 2, j’ai découvert les différentes intentions qu’un auteur peut avoir lorsqu’il compose un texte.

De plus, j’ai retravaillé la grammaire du texte. J’ai vu qu’il y avait plusieurs classes de mots comme le nom, l’adjectif, le déterminant, etc. Pour simplifier l’écriture avec les enfants, il faut qu’ils découvrent qu’il y a des classes qui vont varier en genre et en nombre avec le donneur, c’est-à-dire le nom, et il y en a d’autres qui sont invariables. J’ai appris que le verbe qui décrit l’action principale de la phrase se nomme le verbe prédicat.

Ensuite, comme il y avait un bon moment déjà que je n’avais pas travaillé les groupes contenus dans une phrase, je fus heureuse de me rafraichir la mémoire sur le sujet. Heureusement pour moi, la phrase de base est toujours constituée d’un groupe sujet et d’un groupe du verbe qui, à l’occasion, peuvent être accompagné d’un groupe complément de phrase.

Enfin, j’ai eu la chance de travailler avec une grille de correction : le code Préfontaine/Fortier. Je n’avais jamais eu la chance d’utiliser un code de la sorte. J’ai trouvé qu’il était ardu de s’y repérer au début, mais je suis persuadée qu’après quelque temps, ce type de code permet une correction beaucoup plus rapide et efficace.

Compétences langagières travaillées :

            À la suite des différents exercices qui ont été effectués en classe, j’ai pu relever quelles étaient mes forces et mes faiblesses au niveau de la langue écrite. D’abord, je constate que la structure de mes textes d’argumentation est bonne et que je suis en mesure d’utiliser des marqueurs de relation appropriés au contexte. Également, mes phrases sont bien construites et je fais peu d’erreurs en lien avec la ponctuation.

Néanmoins, je ne suis pas parfaite! J’ai mes faiblesses sur lesquelles je devrai travailler dans un avenir rapproché si je souhaite exceller au test TEC-FÉE en septembre prochain. D’abord, il y a mes temps de verbes qui me donnent du fils à retordre. J’éprouve quelques difficultés à conserver mon texte dans des temps de verbe lié au présent ou au passé. De plus, mon vocabulaire est à travailler. Même si je lis beaucoup, je m’attarde peu à la manière dont les mots sont écrits. Donc, cela fait en sorte que j’ai un grand bagage de mot de vocabulaire riche dont je ne suis jamais certaine de l’orthographe.

Compétences professionnelles travaillées

 

Compétences

Aspects travaillés

1

·         J’ai su prendre une distance critique par rapport à la langue écrite lorsque j’ai compris l’importance de son rôle dans le parcours scolaire de l’élève. Afin de lui donner les meilleurs outils pour réussir, je me dois d’avoir des connaissances rigoureuses sur le sujet et de les lui transmettre de manière claire et concise.  

2

·         Durant les cours, je me suis appliquée à respecter les règles de la langue écrite lors des différents travaux et exercices effectués.

11

·         À l’intérieur du second bloc, j’ai pu réviser mes connaissances antérieures et établir un bilan de mes forces et faiblesses. Désormais, je suis consciente du travail que j’ai à faire pour perfectionner mon français écrit avant de devenir enseignante.

12

·         Lors de discussions en groupe, j’ai su respecter mes collègues de classe même si leurs opinions divergeaient des miennes à quelques occasions.

 

Auto-évaluation

3/3

J’ai été présente en classe tout au long du bloc sur la langue écrite. En plus, je n’y étais pas simplement de corps, mais aussi d’esprit! En effet, j’ai participé activement aux discussions et aux activités proposées durant les cours. Et vous devez faire fi de mon air absent ou lunatique, car je suis une personne qui apprend en écoutant et il m’arrive fréquemment de fixer un point ou d’avoir le regard vide lorsque j’écoute en classe.

 

Conclusion

            En enseignement, la communication écrite et aussi importante que la communication orale. Je trouve donc dommage que nous ayons eu si peu de temps pour travailler cet aspect de la langue. Toutefois, ces quelques cours ont été pour moi des révisions variées au sujet des différentes notions et codes qui englobent tout le processus de l’écriture. Je suis heureuse d’avoir eu le cours de communication avant d’avoir à faire le test TEC-FÉE, car maintenant je sais sur quoi je dois travailler si je veux le réussir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire